Activités

Programme 2019-2020

Séminaires du MCF à PARIS

Jean-Pierre Winter reprendra ses activités en janvier 2020. Les informations concernant ses différents séminaires seront publiées ultérieurement.

Groupes de travail à PARIS

Psychanalyse sans divan

Comment se risque aujourd’hui l’hypothèse de l’Inconscient dans des dispositifs hors divan-fauteuil ?
Nous poursuivrons notre lecture, dans le Séminaire XI du chapitre: « Le transfert et la pulsion », puis retournant aux élaborations qui précèdent le séminaire X « L’Angoisse », nous reprendrons les questions soulevées par le rapport du sujet au signifiant telles que Lacan les déploie dans son séminaire sur l’Identification et nous verrons ce qu’elles impliquent pour la position de l’analyste.
Les échanges cliniques seront bienvenus au cours de ces lectures.

Dates : nous nous réunissons le 3ème mardi de chaque mois dès le mois de Septembre.
Contacts : Thérèse Ferragut, 06 60 46 98 54  // Hélène Terdjman, 01 46 34 55 86

Parler Clinique

« Être psychanalyste, c’est, dans la trompeuse permanence du fauteuil, à tout instant le devenir à nouveau. » Serge Leclaire
Si le psychanalyste ne peut soutenir son acte que dans la solitude, il lui est d’autant plus précieux de trouver un espace où les questions soulevées par sa pratique, les difficultés comme les surprises, puissent s’élaborer avec quelques autres.
A cette fin, nous proposons un lieu pour dire et entendre ce qui nous engage dans une analyse. A partir de l’exposé de moments de cure, nous tenterons d’en repérer les enjeux de transfert.

Dates : le groupe se réunit un jeudi du mois à partir de janvier 2019.
Contacts : Maryse Martin 01 45 87 39 88  // Anne Minthe 01 45 35 17 61

Groupes de travail à MONTPELLIER

L’actuel de la Psychanalyse

Contact : Marie-Laure Roman 06 80 09 99

« Le loup, la psychanalyse et l’enfant »

Groupe d’intercontrôle sur la psychanalyse d’enfant, animé par Monique Prieur-Bertrand et Marie-Laure Roman

Contact : Marie-Laure Roman 06 80 09 99

Lecture du séminaire de Lacan « les non dupes errent »

Groupe fermé (nouveau groupe constitué en juin)

Groupes de travail à RENNES

« Lecture » des Ecrits

Lacan a souligné que les Ecrits n’étaient pas faits pour la consommation courante. Lire ce que j’ai écrit… ça fait de l’effet, ça retient, ça intéresse. Cela fait de l’effet au sens où, sans doute, n’est ce pas fait pour être lu et compris mais pour être déchiffré tout comme le rêve dont Freud disait qu’il était un rébus. Nous voulons amener le lecteur à une conséquence où il lui faille y mettre du sien.
S’ils ne sont pas faits pour être lus, comme le soutenait Lacan, de quoi pourrait-il s’agir si ce n’est d’une affaire de déchiffrage tant ils sont rédigés différemment de tout autre texte et présentant une difficulté singulière. Il ne saurait s’agir de comprendre mais bien plutôt d’en appréhender quelque chose. Question d’appréhension, donc.

Dates : le 3e mardi du mois à partir du 16 octobre
Lieu : 7, rue Hersart de la Villemarqué, Rennes
Contact : Jean-Noël Flatrès, 06 99 44 65 16

Atelier de lectures freudiennes

Nous nous intéresserons, cette année au transfert, notion essentielle qui témoigne du caractère si spécifique, radical de la découverte freudienne et de la singularité de sa méthode : la psychanalyse procède de la clinique.
Nous déroulerons ce fil rouge au travers de textes de Sigmund Freud (Fragment d’une analyse d’hystérique, La dynamique du transfert…) et de Jacques Lacan (De nos antécédents, La direction de la cure, Séminaire VIII Le transfert…)
Ce travail est co-animé par Ph. Larbat, membre de l’ALI et J-N Flatrès

Dates : le deuxième jeudi du mois à partir du 13 septembre
Lieu : au cabinet de Ph. Larbat, 6, rue Armand Barbès, Rennes
Contact : Jean-Noël Flatrès, 06 99 44 65 16

Cabinet de lecture à PARIS

Nous commencerons l’année par la lecture du livre de Gloria Leff: « L’affaire Freud-Hirschfeld » aux éditions EPEL, puis nous poursuivrons avec « Fiction et vérité freudiennes » de Laurence Kahn entretin avec Michel Einaudeau aux éditions des Belles Lettres et nous lirons ensuite « Désirer, désobéir. Ce qui nous soulève (1) », de Georges Didi-Huberman aux éditions de minuit.

Dates : le groupe se réunit le 4e mardi de chaque mois.
Groupe fermé

Journées de travail du MCF à PARIS

Journées de Mars

Les 21 et 22 Mars 2020 se dérouleront les journées de travail du MCF à Paris autour du thème suivant:
« Comment la question de la culpabilité a disparu du discours des analystes ? Il faut revoir chez Lacan ce qu’il a pu formuler pour permettre cette absence autour de la question du père. »

Dates : 21 et 22 Mars 2020

Journées de travail du MCF à MONTPELLIER

Journées de Septembre

Troisième weekend de septembre 2020

Dates : 18, 19 et 20 septembre 2020
Lieu : Saint-Jean de Buèges

Colloque à venir « La psychanalyse et l’air du temps »

Question du lien social. Nous engagerons le débat avec d’autres associations psychanalytiques.
Le psychanalyste est-il guidé par une doctrine et/ou par sa pratique ?

Pour information

Séminaire Marjolaine Hatzfeld : De Freud à Lacan : Comment cerner ce qu’on appelle « satisfaction » (Befriedigung) ?

Nous avons été amenés l’an dernier à relire ce que Freud entendait sous sa formule que le sens du rêve est d’être une Wunscherfüllung, un « remplisement » de souhait. Nous avons repris le fondement métapsychologique, à la fois énergétique (répartition des investissements) et scripturaire (existence de traces d’expériences sexuelles infantiles refoulées)
qu’il donnait à ce terme, ainsi que les limites (pour Freud lui-même) de cette première appréhension du sens du rêve.
Nous poursuivrons ce chemin : de quelle satisfaction s’agit-il dans cette accomplissement hallucinatoire d’un Wunsch ?
On ne peut se contenter , malgré la prégnance imaginaire de ce schème, de l’idée d’une décharge de tensions pulsionnelles, dont le modèle sous-jacent semble bien s’appuyer, pour Freud, sur la jouissance liée à l’acte sexuel.
Lacan, sur ce point , recadre très rigoureusement la question en changeant de terrain. La satisfaction en cause est à situer dans la champ d’un sujet, constitué par son ancrage, sa prise dans un signifiant qui le marque, c’est à dire dans l’Autre, lui-même marqué … marqué lui aussi de ce manque spécifique produit par la marque signifiante.

D’un tel sujet, inédit avant Lacan, que dire de ce qui peut le « satisfaire »? Qu’est-ce qu’une satisfaction proprement « subjective » ?

(Nos textes de référence: Le Désir et son Interprétation , que nous avons laissé en suspens et que nous reprendrons, et La Logique du Fantasme (sém. 14) magnifiquement transcrit par Michel Roussan.)

Dates : les mardis 15 octobre et 3 décembre 2019, de 21h à 23h. Les dates pour 2020 seront communiquées ultérieurement.
Contact : merci d’envoyer un e-mail à mhatzfeld@orange.fr, afin que vous soient communiqués le thème du travail et les lectures à faire pour préparer chacune des rencontres au fur et à mesure.
Participation : une participation congrue sera demandée pour la location de la salle ( qui s’élève à 45 euros pour les deux heures).

NICE

« Les voies de la Création 5 » Animé par Jean-Michel Vivès

Programme

  • Le 7/10/2019
    Silvia Lippi, Psychanalyste – Paris
    Titre : Manie et free jazz, pour une clinique du rythme.
    Résumé : Quelle relation existe-t-il entre la psychanalyse, dont la pratique est fondée sur le langage, et la musique, qu’on dit «asémantique»? Pour penser la cure d’un sujet mélancolique en phase maniaque, nous prendrons appui sur le dispositif proposé par le free jazz, où la multiplicité fait système, et où polyrythmie et polytempie n’empêchent pas l’émergence d’un discours commun entre les éléments du groupe. Il s’en suit une approche clinique de la psychose non pas orientée vers quelque compensation de la part de l’objet mais vers la reconstruction du lien social
  • Le 2/12/2019
    Frédéric Vinot, Psychanalyste – Nice, Maître de Conférences HDR Université Côte d’Azur
    Titre : Clinique de la mise en abyme.
    Résumé : La mise en abyme (théâtre dans le théâtre, tableau dans le tableau, lecture d’une lecture, etc.) est un procédé récurrent en art. Mais quelle pourrait bien être sa fonction lorsqu’elle surgit dans la clinique des médiations thérapeutiques par l’art, et au-delà dans toute clinique psychanalytique ? Pourrait-elle être une piste pour penser l’expérience analytique telle que présentée par Lacan comme « récit qui serait lui-même le lieu de la rencontre dont il s’agit dans le récit » ?
  • Le 13/01/2020
    Pascal Roman, Psychologue-psychothérapeute, Professeur de Psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse, Université de Lausanne (Suisse).
    Titre : L’Art Brut, un laboratoire pour l’approche du processus de création.
    Résumé : La création dans l’Art Brut emprunte des voies qui, pour une part, échappent aux codes et aux conventions culturels. À ce titre, la rencontre des œuvres d’Art Brut constitue une occasion privilégiée pour une approche du processus de création dont on peut considérer, à la suite des propositions de D. Anzieu (2001), qu’il se déploie selon les trois formes de travail psychique du rêve, du deuil et du jeu. C’est au travers de la rencontre sensible de l’œuvre (et du discours de l’auteur sur son œuvre) et de l’ouverture d’un espace dialogique entre l’auteur et le regardeur (M. Duchamp, 1956) qu’elle autorise, que je proposerai un parcours au cœur de la création dans l’Art Brut.
  • Le 3/02/2020
    Nicolas Guérin, Psychanalyste, Maître de Conférences HDR Aix-Marseille Université.
    Titre : La voix de personne.
    Résumé : Si l’interprétation du psychanalyste est nécessaire au progrès de la cure analytique, elle n’est pas suffisante. Lacan a pu dire qu’elle n’est pas la voie d’un vrai réveil pour le sujet. Et les avancées de son enseignement empêchent de réduire l’interprétation à la seule action du psychanalyste puisque l’inconscient lui-même procède, à travers ses formations, par interprétations. Dès lors, comment situer l’interprétation, en tant qu’elle est psychanalytique ? A partir du repérage des références de Lacan à la poésie, à la littérature ou à la logique, quant à la problématique du sens, l’enjeu est de cerner en quoi l’interprétation opère par résonance et relève plutôt d’un « dire de l’analyse », comme tel sans auteur.
  • Le 2/03/2020
    François Ansermet, Psychanalyste, Professeur honoraire, Université de Genève et Université de Lausanne.
    Titre et résumé à venir.

Dates : lundi de 19h à 20h30
Lieu : Université Côte d’Azur – Campus Carlone – 98 Boulevard Edouard Herriot, Amphi 68

TOULOUSE

Le café psy de Serge Vallon se tient à la librairie Ombres blanches avec le soutien des éditions Erès.
Le thème pour cette année sera « Bords et débords de la psychanalyse ». A chaque séance un invité sera présent et un débat aura lieu avec l’assistance.

Dates : les samedis 19 Octobre, 9 Novembre et 14 Décembre 2019 de 11h à 12h 30
Lieu : département librairie étrangère, 3 rue Mirepoix

Contacts

Mouvement du Coût Freudien
18 Allée de Fontainebleau
75019 – Paris

PrésidentJean-Pierre Winter01 43 38 24 31
Vice-présidentEric Vigouroux04 67 84 13 52
TrésorièreAnne Minthe01 45 35 17 61
SecrétaireJean-Noel Flatrès06 99 44 65 16
Secrétaire adjointeMarie-Laure Roman04 67 73 41 99

Comité d’Organisation de la Recherche

Marie-Laure Roman04 67 73 41 99marielaureroman1@orange.fr
Anne Minthe01 45 35 17 61anne.minthe@wanadoo.fr
Hélène Terdjman01 46 34 55 86helene.terdjman38@gmail.com
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Archives des programmes annuels du MCF

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